Resident Haaz 4

28/08/2006 2 Par Haazheel

Il faut que je vous parle du jeu du moment que j’ai à ma maison : Resident Evil 4 !

J’en suis à environ 12 heures de jeu 16 heures (suis une burne au fait donc pour un enfant de 10 ans il faut compter 3 heures pour faire ce que je fait en 12…)

Alors l’histoire :

Vous êtes Léon (Non pas lui, un autre) et vous êtes super méga entraîné. Vous avez vaguement participé à Resident Evil 3 mais comme je ne l’ai jamais touché OSEF !
Donc Léon on vous a appelé parce que la fille du Président s’est barré chez des plombiers polonais et qu’elle n’est jamais revenu (non content de piquer notre boulot, ils piquent nos filles ! ! !) .
Vous allez donc gambader dans un pays de l’est (ils disent pas que c’est la Pologne mais j’ai reconnu la végétation) avec vos 2 amis flics.
Arrivés au village, vous allez demander à un autochtone s’il n’aurait pas vu  » Miss la Pouf en kilt  » et, comme dans tous les pays de l’est, cette personne tente de vous couper la tête avec sa hache.
Rapidement c’est l’escalade ! Vos amis sont brûlés vifs, vous êtes agressé par une trentaine de paysans armés de bâton (je vous rassure vous allez les tuer facilement vu que vous, vous avez un flingue !) et vous vous dites que décidément, c’est pas l’Irak qu’il fallait envahir mais plutôt la Pologne.

Je vous passe les divers moments passés à ramasser les munitions (les paysans ils sèment les munitions mais n’ont pas d’arme… bref), le fait que vous allez croiser un espagnol, qu’une nana à moitié à poil vous rappellera que vous n’avez pas joué à Resident Evil 3. Vous arrivez enfin à retrouver la jeune fille au kilt.

Là, au moment où je vous parle, je l’ai encore reperdue ! Ce qui constitue au minimum ma 3ème perte de fille de président… Je me demande si je ne vais pas être interdit de vol de retour moi…

Voilà c’était le moment : la vie est formidable mais comme il pleut je reste au boulot pour écrire des conneries…

EDIT : tient j’ai oublié de le mettre en ligne en partant du taff… tant pis je vous le mets maintenant, c’est tellement beau ce que j’écris.